Qu'appelle-t-on "mauvaise herbe" ?
"Mauvaises herbes" ou "adventices" en français, "weeds" en anglais, sont les termes incontournables de la malherbologie. Mais ces termes présentent quelques subtiles différences.
Lire la suiteLes mauvaises herbes sont un des principaux problèmes biologiques qui touchent l’agriculture tropicale, c’est pourtant celui qui est le plus sous-estimé. Au niveau mondial, la production alimentaire est directement affectée par ce problème. Les mauvaises herbes représentent une contrainte d’autant plus grave qu’elle touche plus particulièrement les pays en voie de développement : jusqu’à 25 % de pertes de production dans les zones tropicales contre 5 % en zone tempérée.
"Mauvaises herbes" ou "adventices" en français, "weeds" en anglais, sont les termes incontournables de la malherbologie. Mais ces termes présentent quelques subtiles différences.
Lire la suiteComprendre les raisons de la présence d’adventices implique une connaissance approfondie des enherbements (composition floristique, écologie et biologie des espèces…) et des facteurs écologiques et agronomiques qui influencent leur développement. Ces connaissances permettent de cibler et d’intervenir sur les facteurs de manière à maintenir l'enherbement d'une parcelle en dessous d'un seuil de nuisibilité globale.
Lire la suiteToute plante n'est pas mauvaise herbe. La capacité d'une espèce à devenir envahissante dépend d'un certain nombre de caractères.
Lire la suiteL'identification des mauvaises herbes par les agronomes n'est pas tâche aisée car la plupart des outils classiques ne sont pas adaptés à ce type de plante. La mise au point récente d'Advenrun, logiciel de description et d'aide à l'identification des mauvaises herbes de la Réunion, permet de pallier la plupart des contraintes des flores classiques tout en étant adapté à la majorité des utilisateurs.
Lire la suiteLes pertes de production dues aux mauvaises herbes affectent la production alimentaire mondiale, mais plus particulièrement celle des pays en voie de développement. C'est en effet en zone tropicale que l'estimation des pertes est la plus élevée : 25% des productions, contre 5% dans les pays développés. Déjà, en 1967, la première analyse mondiale montrait qu'en Afrique, ces pertes étaient de l'ordre de 10 à 56%.
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